Afin de répondre à ces ambitieux objectifs, de nombreux investissements ont été mis à disposition par l’Etat d’une part, et l’interprofession laitière, d’autre part.
La contribution de l’Etat, chiffrée à hauteur de 2 milliards de Dirhams, prévoit :
- L’instauration d’une subvention de 4000 Dhs/tête/an à l’acquisition de génisses laitières importées,
- La révision à la hausse :
- Subventions accordées pour l’investissement dans les élevages laitiers,
- Subventions à la production nationale de génisses réglementaires, répondant aux normes en vigueur : 4000 Dhs/tête pour les deux premières années
- Subvention à l’achat de semences fourragères
- Le financement à la mise à niveau des producteurs et amélioration génétique du cheptel,
- La promotion de l’investissement dans l’aval,
- L’identification et la traçabilité du cheptel,
- La mise à niveau de la réglementation.
La contribution de l’Interprofession, valorisée à 10 milliards de Dirhams vise à honorer les engagements suivants :
- La création de 400 à 500 fermes productivistes,
- La mise en place de structures d’agrégation,
- La mise à niveau des producteurs et l’amélioration génétique du cheptel national,
- L’amélioration de la formation destinée aux producteurs et éleveurs,
- Le renforcement de l’intégration verticale en aval de la filière,
- L’appui dans le développement de nouveaux projets dans le traitement du lait,
- La mise à niveau des unités existantes,
- La valorisation de la production nationale, particulièrement en période de haute lactation,
- La promotion de la qualité du lait,
- Le développement de la consommation et de la distribution.